Marc De Groote nouveau président d’Agoria

Il succède à Christ’l Joris, qui transmet le flambeau après deux mandats

Marc De Groote est le nouveau président de la fédération technologique Agoria. Il succède à Christ’l Joris, qui transmet le flambeau après deux mandats. M. De Groote, managing director du groupe TIC Cegeka Belgique, appelle les autorités et les partenaires sociaux à préparer notre société aux évolutions technologiques rapides. Pour ce faire, il faut apporter des adaptations à l’organisation actuelle du marché du travail, de la concertation sociale et de l’enseignement. « Ouvrons-nous à la technologie et faisons en sorte que notre législation soit un levier de promotion pour les emplois du futur, et non un frein. » 

Marc De Groote (53 ans) est actif dans l’univers de la technologie depuis 1988. D’abord chez CSC, et à partir de 1991 chez Callataÿ & Wouters, où il crée le département R&D. Chez Callataÿ & Wouters, il est également responsable du déploiement international de l’entreprise et du développement de Thaler, le produit bancaire au succès incontesté Callataÿ & Wouters. En  2007, il devient CEO de l’entreprise, laquelle est rebaptisée plus tard Sopra Banking Software. En 2014, il rejoint la société Econation (cleantech) en qualité de CEO. Depuis peu, il est managing director du groupe logiciel Cegeka dans notre pays. 

Homme d’affaires, père et joggeur

Marc De Groote habite à Huldenberg (Brabant flamand), est marié et père de quatre enfants. Il a grandi au Congo et est venu vivre en Belgique pour terminer ses études à la Vrije Universiteit van Brussel (VUB). Au sein d’Agoria, il assure déjà la présidence du groupe d’entreprises TIC depuis 2013. Dans ses rares temps libres, il pratique le jogging, s’adonne à des activités culturelles et effectue des voyages.   

En tant que président d’Agoria, Marc De Groote entend collaborer avec tous les partenaires possibles pour préparer notre pays au futur technologique. « Celui qui parle aujourd’hui de l’avenir de l’emploi doit avant tout créer cet emploi. La bonne nouvelle, c’est que la technologie peut nous y aider. La mauvaise, c’est que notre pays et nos lois économiques ne sont pas suffisamment clairs pour permettre des évolutions technologiques rapides. À cet égard, il convient de distinguer quatre champs d’action : la flexibilité du marché du travail, un travail faisable et financièrement abordable, une concertation sociale moderne et la modernisation de notre enseignement. » 

« Ce sont nos enfants qui définiront l’avenir et celui-ci sera technologique »

« Alors que notre génération aime débattre longuement des prétendus dangers de la technologie, la génération suivante – nos enfants, donc – est convaincue depuis longtemps déjà des avantages de cette technologie. Nos jeunes utilisent pleinement la technologie et la qualité de leur vie s’en trouve améliorée. Une chose est claire : ce sont nos enfants qui détermineront de quoi notre avenir sera fait », conclut De Groote.

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